Avant de quitter la vie active, je m’étais imaginé qu’une fois à la retraite, plus personne ne se prenait la tête pour des futilités et tout le monde désirait éviter les problèmes susceptibles de l’être.
Mais ce n’est pas du tout ça ! J’ai découvert une société jalonnée de jalousies, de mesquineries et de commérages. Donc pas vraiment une bulle de tranquillité et de loisirs comme je l’entendais.
Pour certains et certaines, les commérages deviennent presque un sport de loisir, comme une manière de combler le vide, de donner du sens à leurs journées.
Sans parler des rivalités entre femmes seules alimentées par le peu d’hommes « disponibles ». En effet, les hommes vivant généralement moins longtemps que les femmes, cette rareté de « candidats » masculins fait naître des tensions que je ne soupçonnais pas…
Mais il est indéniable que la retraite n’est pas seulement un jardin de roses et que, parfois, même les plus radieux des paysages cachent des épines.
Cependant, dans cette nouvelle « société », j’y trouve également de véritables occasions d’amitié et de partages. Le tout est de savoir naviguer parmi ces relations complexes et d’accepter les imperfections de ce nouvel environnement.
Et surtout n’oubliez pas, une fois à la retraite, les amis sont souvent ceux qui nous permettent de traverser cette phase avec le sourire, avec des moments de plaisir et de soutien inestimable dans les moments difficiles.
Sur ces bonnes paroles je vous souhaite un magnifique printemps et à bientôt !
